Protéger les enfants vulnérables
Madagascar
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@grandirailleurs
Assurer les droits fondamentaux des enfants vulnérables
Créée en 2007 à Noisy-le-Grand (93), Grandir Ailleurs est une association française de solidarité internationale qui vise à assurer les droits fondamentaux des enfants, tels qu’ils sont énoncés dans la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE).
À Madagascar, Grandir Ailleurs développe et soutient des programmes à travers son antenne locale : l’association malgache de protection des enfants vulnérables Grandir à Antsirabe.
L’association offre également un appui technique et/ou financier à d’autres associations, à Madagascar et ailleurs.
Nos programmes à Antsirabe
Protection des
enfants des rues
Sécurité
alimentaire
Inclusion
par le sport
Développement
local
Focus
Lancement officiel Grandir Hand : coup d’envoi d’une nouvelle aventure sportive à Madagascar
Cette semaine a marqué une étape décisive pour GrandirHand, un projet innovant et prometteur destiné à promouvoir l'accès au handball à Madagascar. Dans la ville d'Antsirabe, une double célébration a eu lieu : l’inauguration officielle du projet avec des discours...
Je m’appelle Todisoa, j’ai 17 ans
« Je m’appelle Todisoa, j’ai 17 ans et j’ai vécu dans la rue pendant 5 ans avant de rejoindre Grandir à Antsirabe. La vie dans la rue Je travaillais comme porteur au marché Sabotsy la journée, puis dans une salle vidéo le soir, et la nuit, je dormais au marché. Un...
L’impact de la vie dans la rue sur les enfants : le processus de désocialisation
Privés de leurs repères sociaux ordinaires, les enfants des rues à Madagascar voient leur rapport au temps, à l’espace, aux autres et à eux-mêmes profondément modifié.
Les enfants des rues
Les enfants des rues à Madagascar représentent une réalité alarmante, estimée entre 200 000 et 300 000.
Livrés à eux-mêmes, ils vivent dans des conditions précaires, sans accès à l’éducation, à la santé et à la sécurité.
Leur situation découle de divers facteurs tels que la pauvreté, la désintégration familiale et des expériences traumatisantes. Ces enfants, souvent perçus comme des délinquants, subissent une stigmatisation sociale, exacerbée par une indifférence généralisée.
La vie dans la rue les expose à des dangers constants, allant de la violence physique à l’exploitation. Beaucoup d’entre eux sont contraints de travailler pour survivre, mais leur accès à l’éducation est limité. Certains, appelés « enfants fantômes », ne sont jamais enregistrés à l’état civil, ce qui les prive de droits fondamentaux et les rend vulnérables à l’exploitation.
Leurs droits, tels que définis par la Convention relative aux droits de l’enfant, sont souvent bafoués.